Il y a la lumière, un jour, qui vient, et qui nous éclaire le brocoli, le brocoli rose, pas le vert, le jaune est trop commun et la lumière est si belle. Elle mérite que l’on s’y attarde plutôt que de passer sans regarder, les yeux au ras de la pierre, le cœur on ne sait où.
Tout va trop vite.
Tout n’est jamais assez fort.
Et pourtant, il suffit de regarder la photographie. Tout y est, là, sous nos yeux.
Tout. Toi. Moi. Nous.
Et le brocoli rose. Le vert n’y est plus. Il a imprégné nos cœurs, les a ouverts, ou bleu, ou jaune, ou rouge. Qu’importe la couleur ! L’œil peut voir aussi en noir et blanc. Il doit chercher ce qui l’éclaire.
Et le trouver.
C’est là, tout près, dans la photographie. Il suffit de s’y plonger.
Et la photographe, où est-elle, celle qui a dilaté la pupille en premier, et le cœur, en clinocolor, en noir et blanc, et donné la clarté là où l’œil ne disait rien ?
La photographe.
Je l’aime. Aussi pour la lumière…
Merci, Sarah Budki. Merci.
Cy Jung®
Chouetteeeee, on va faire la fêêêête au brocoli ?!!! Plein de biiiiisous à toi ma Cécylou et à suuuuuper Sarah.
Merci à vous deux pour la beauté de vos « regards » croisés.
Coucooooou, Isabelle me dit que c’est finiiii ? Mais alooooors, c’est triiiiiste les brocolis ? Ah ! Ben, j’irai pas à leur fêêête. À bientôt quand même ? Merciiiiiiii pour touuuut et groooos groooos groooos biiiiisous
Merci Emelka et Petit Mouton pour ces très gentils commentaires . Sarah et moi sommes ravies d’avoir su vous donner quelques agréables moments de lecture à travers nos propres partages.